[quote="lt comme lent ]]Je peux peut etre
partager mes petites experiences de camping au milieu de bois.
Je suis en effet partit quelque's temps en stop(j'avais 17ans) et sac a dos,
guitare a ....[/quote] Je vois que nous avons eu des parcours similaires !
(J'ai fait, également, la cote landaise, jusqu'à l'Isle de Ré, à bicyclette via
les pistes allemandes.)
Je me suis également baladé beaucoup plus loin (Jusqu'au Tchad).
Toujours seul, en stop, ou a plus ou moins nombreux à moto, auto, fourgon..
Une unique fois, je suis parti en stop, avec une nana ... et là, j'avoue ne pas
avoir été tranquille un bref moment.
Globalement, je n'ai jamais eu de problème, juste de temps en temps et, bien
souvent, prévisible.
Bien comprendre que les PB se rencontrent qu'en certaines circonstances ...
sorties de boite d'une équipe de para-commando bleu bite, ... proximité de
villes, endroits très passants et interlopes.
Il y a eu qu’une fois où je ne suis pas passé « très loin » : un type « allumé », un peu « barbu » qui
croisait mon chemin.
Une autre fois, c’était une colonne militaire (Libyenne ?),
dans le grand Sud qui allait en Mauritanie (Polisario).
Là, dans une étendue complètement désertique, il y avait un (1) petit buisson : nous étions 2
(Un Marocain et un Français.) et le buisson nous a vraisemblablement sauvé.
Globalement, je dirais, après avoir quelque peu bourlingué
que les mauvaises aventures se rencontrent plus souvent au pied de chez-soi (ou
dans les parages), qu’en pleine nature.
Naturellement, on ne parlera pas des aléas de la circulation : des meurtriers en puissance (ou non), on en
croise souvent !
Question vie de ces circonstances, j’ai, je crois, développé
un sixième sens : je sens extrêmement
vite un détail clochant dans une ambiance.
Sans doute le contexte de mon enfance, un père un peu « aventurier »
et globalement, des parents marqués par la guerre 39/45.
En général, le meilleur sport de combat reste et demeure la
course à pied, mais à pratiquer qu’à bonne escient !
Rare sont les cas où cela s’avère réellement nécessaire : le quidam n’est pas un tueur (dans tous les
cas, un violent) : cela est plus l’apanage de notre civilisation occidentale.
Le reste du temps, une discussion (diplomatique) vient rapidement
détendre une atmosphère devenue subitement lourde.
Reste les moments où délibérément et franchement les choses
prennent une tournure de violence.
Et dans ces cas, il y a toujours les roquets, prompt à
mordre et rapide à s’éclipser pour laisser place aux « gros bras ».
Je suis très loin d’être baraqué … mais je suis déterminé et
cela impressionne toujours l’adversaire
potentiel.
Montrer sa peur est certainement le meilleur moyen de passer
aux actes, lui faire comprendre, implicitement, que tout ne se passera pas sans
heurts est une bonne défense.
Tout est affaire de circonstances : voir une horde armée
débouler dans un lieu isolé et « chaud » (Plage de Tanger) implique
une réaction immédiate => décamper !
Rétrospectivement, je n’ai jamais eu vraiment eu peur.
La seule fois où j’ai réellement eu peur, c’est dans un
voilier, planté une nuit entière, dans
les passes Nord du bassin d’Arcachon.
Là, j’ai vraiment eu la trouille !
jumperdos a écrit: |
la seule fois ou il y a eu quelqu'un qui a frappé à
la porte du cam's en pleine nuit , c'été les Gengens |
Un truc
qui vaut ce qu'il vaut (Utiliser une fois => RAS)
Déclarer que l'on a rencontreé des amis et que l'on a, un peu, arroser
la rencontre, que l'on est pas saoul, mais que l'on se sent pas capable
de conduire.
Si les flics insistent, leur demander un ordre écrit de circuler, bien que l'on ne s'en sente pas capable.
Là, normalement, ils te foutent la paix :D